« Le sabre du notaire » de Louis d’Hurcourt
A paraître le 10 mars prochain :
La collection « romans champenois » s’enrichit d’une nouvelle publication avec la réédition de l’unique roman du journaliste Louis d’Hurcourt (1853-1920).
Publié en 1899, ce roman historique « à la verve primesautière et joyeuse », pour reprendre les termes d’une critique de l’époque, revisite la fin de l’épopée napoléonienne, les dernières semaines de l’Empire en 1814, à travers la Champagne et la Brie.
Dans ce récit à la première personne d’un notaire nommé capitaine d’une compagnie de grenadiers de la garde nationale, héros malgré lui, où se mêlent personnages historiques (les maréchaux Marmont et Ney, l’empereur Napoléon lui-même…) et personnages de fiction comme le pittoresque lieutenant instructeur Bûchery, le lecteur champenois verra défiler des lieux familiers : la région de Brienne-le-Château (Soulaines, Rosnay, etc.), les marais de Saint-Gond près de Sézanne, Étoges, les environs de Reims, etc. L’occasion de revivre l’histoire de notre région, dans un roman teinté d’humour, mais fidèle à la chronologie des événements.
Cette réédition reprend la version définitive du texte, accompagnée de 36 illustrations de Charles Morel.
Disponible prochainement dans notre boutique en ligne et les habituels points de vente.
Quelques extraits de critiques littéraires parues à la première publication du roman :
« Par l’ironie bon enfant, l’entrain cocardier du récit, la vérité de la reconstitution historique, ce petit roman est digne de figurer, à côté de Parquin et pas très loin de Marbot, dans toutes les bibliothèques napoléoniennes. » — Le Temps, 8 novembre 1898
« Un volume fort bien écrit, avec beaucoup de verve, beaucoup d’humour… » — Le Soir, 14 novembre 1898
« Il y a dans ces pages de la bonne et saine gaieté gauloise de nos aïeux. » — L’Estafette, 14 janvier 1899
« Un récit d’une verve primesautière et joyeuse. Bien des héros envieraient les faits d’armes du poltron qu’est — ou plutôt que croit être — maître Bourdonnois, notaire impérial. » — La revue des revues, 1er janvier 1899